12/07/2008

=Éclair de net=

Le temps passe, s'effacent les traces, dit-on. Et dans un coin de la maison, les cendres renaissent de milles saisons.

Est-ce bien des souvenirs passés? Ou des fantasmes inavoués? Des face à face sans jamais se toucher, mais où tout est ressenti comme les caresses de larmes, aussi blanches que des armes finement aiguisées. Elles m'ont coupé.

Un portrait me ramène trait pour trait, là où tout s'est terminé. Pourtant, tout me semble inachevé voire même pas commencer.

On a oublier la matière dans cette espace qui semble mais n'est pas, sauf nous sans nous, chacun dans un coin d'une maison et loin d'être la même.

Débutons ce que nous cru commencer, peut-être que nous avons oublier d'être dans la même pièce avant de jouer à pile ou face avec un sou sans visage.



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